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HABITER LA TERRE
De « Si ce n’était manque d’amour » à « Habiter la terre », il n’y a qu’un pas. Ou plutôt un joli sentier parsemé de dizaines de chansons, où, depuis le début, j’ai tenté de transformer les gestes de tous les jours en gestes universels. Tenté de traduire un imaginaire poétique en philosophie du quotidien. Rompre les barrières, briser la peur de l’autre, entrer en harmonie. Dénoncer la vanite´, l’orgueil, la jalousie, l’appe´tit du pouvoir.
Décliner à bras ouverts la tendresse, l’émotion, l’amour et l’amitié. En jonglant avec les mots… Et si la chanson peut parfois servir à la lutte, nécessaire, elle est surtout refuge, reconnaissance ou véhicule pour tous ceux qui veulent s’en servir. Intime ou extravertie, comprenez que pour le semeur, ce n’est que du bonheur !
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